Zone Ouest (Anjou, Guyenne, Périgord-Angoumois, Poitou, Touraine)

Comtés et duchés soumis à la Loi Martiale (soit fermeture des frontiéres):

Duché d'Anjou:

Citation :

Nous, Fifounijoli de Penthievre , vice duchesse en charge du bureau, au vu des évènements de Tours, Reims et Avranches et pour assurer la sécurité de notre Duché, tenions à rappeler ceci :

- l'entrée du territoire Angevin est interdite à toute personne étrangère au Duché et non munie d'un laissez-passer en règle.
- Les déplacements en lances sont interdit.

- toute présence non autorisée sera considérée comme un acte d'agression et entrainera une mise en procès immédiate pour trouble à l'ordre public

- seul un départ immédiat pourra conduire à l'abandon des charges retenues.

Cette décision prend effet à la date d'aujourd'hui et ce, jusqu'à nouvel ordre.

Fait au Chateau d'Angers
Le 12 novembre de l'an de grâce 1456

Fifounijoli de Penthievre

Comté du Périgord-Angoumois:

Citation :

Nous, Sanktuaire de Crussol, Régent du Périgord Angoumois, rappellons, en ce jour du 27 novembre 1456 que tout étranger présent sur le sol périgourdo-angoumoisins doit quitter la région dans les plus brefs délais tel que stipulé dans par la loi martiale en vigueur et decretée par le Comte Griffes. Seuls les troupes alliés et les groupes possédant un laisser passer ont l'autorisation de stationner en Périgord Angoumois.

Nous faisons également savoir qu'a partir de ce jour, toute installation dans une ville du comté doit d'abord être soumise à approbation du Prévôt des maréchaux sous peine de poursuite pour trouble à l'ordre public.

Sanktuaire de Crussol
Régent du Périgord Angoumois

Comté du Poitou:

Citation :

Au bon peuple poitevin,
Mais surtout aux aimables voyageurs désireux de fouler les terres poitevines.

Nous rappelons que, selon le décret toujours en vigueur du 23 novembre 1455 édicté par le Comte Baillant, nos frontières sont toujours fermées.

Cependant, dans sa grande mansuétude, Sa Grandeur Faooeit de Surgères, XIXe Comte du Poitou, accorde expressément une autorisation de libre circulation à tout ressortissant des contrées membres de l'Alliance du Centre se présentant à nos frontières.

Tout voyageur, autre que nos amis et alliés cités précédemment, désirant entrer en territoire poitevin, doit se manifester avant même de franchir la frontière afin d'obtenir un laisser passer auprès de la Prévoté, dirigée par le très compétant Yuan.

Tout contrevenant s'expose à des poursuites judiciaires.

Fait à Poitiers, le 25 Juin 1456,
Pour Sa Grandeur Faooeit de Surgères, XIXe Comte du Poitou

Citation :

A tous !
Angevines , Angevins
Voisins, visiteurs, voyageurs !

Nous Joffrey, Duchesse d’Anjou, afin de protéger notre Duché et ses habitants, voyant aux alentours bien des troubles et ne voulant que notre duché soit un point de ralliement, déclarons la fermeture de nos frontières en ce cinquième jour de juin de l’an de grâce 1457, la décision étant légitimée par les pouvoirs qui nous sont conférés.

Faisons savoir que les non Angevins, déjà présents sur notre sol recevrons un courrier, ceux-ci auront deux jours à compter de la réception pour demander un laissez passer ou avoir quitter notre duché.
Dans deux jours, toute personne non Angevines, encore présente sur notre sol, et ne possédant pas de laisser -passer.sera passible de poursuites judiciaires et si ces dernières rencontrent nos armées, paix à leur âme.

Toute personne souhaitant entrer doit obtenir au préalable, un laissez-passer auprès du prévôt, du Capitaine ou de nous même.

Toutes personne circulant sur nos terres sans avoir reçu
aval des autorités compétentes, le fera sous sa seule responsabilité, et que nul remboursement ne sera versé dans le cas où nos soldats les écorcheraient.

Nous conseillons aux Angevins d’éviter tout déplacement, et surtout en
compagnie d’étrangers.


Que la nouvelle soit répandue en nos terres et par de-delà.

Fait à Angers, Le 05 juin 1457

Joffrey de Beaufort-Dénéré
Duchesse d’Anjou.

COMTE DU PERIGORD-ANGOUMOIS

Nous, Plantajeunet, XXII eme comte du Périgord-Angoumois par la volonté des hommes, du Roy et Dieu, faisons savoir la présente décision prise en ce jour du 25 Juin de l'an de grâce 1458.

, Suite aux nombre croissant de menaces potentielles, larvées ou avérées , nous déclarons, en vertu de l'Opus III, chapitre 5 du livre II du corpus, que la loi martiale entre en applications des le 25 Juin 1458 au changement de jour.

Citation:
Article 2.5.3.1. - La loi martiale est une mesure d'exception et ne saurait être proclamée qu'en cas d'événement susceptible de nuire gravement à la bonne administration du comté du Périgord-Angoumois. Elle ne peut être décrétée que par le Comte.
Article 2.5.3.2. - Dès la fin de la situation de crise à l'origine de la promulgation de la loi martiale, celle-ci doit être suspendue par le Comte.
Article 2.5.3.3. - Durant toute la durée d'application de la loi martiale, tout voyageur, marchand ou étranger foulant le sol du Périgord-Angoumois a l'obligation de se signaler à la prévôté sous peine de poursuites judiciaires pour trouble à l'ordre publique et, ou de bannissement.
Article 2.5.3.4. - Sous la loi martiale le Comte peut d'autorité mettre aux arrêts tout individu au comportement suspect.
Article 2.5.3.5. - Sous la loi martiale les ambassadeurs et autres représentants des provinces extérieures sont priés de rester dans leur délégation.



Tout déplacement est strictement interdit, si nécessaire des laisser-passer seront délivrés par les autorités compétentes mentionnées dans les articles cités. Tout contrôle musclé de la part des autorités sur des personnes non annoncées ne pourra être reproché.Tout contrevenant risque...sa vie.

Que cela soit su de tous,

Fay à Periguers,le 25 Juin 1458

Plantajeunet
Comte du Périgord-Angoumois



Cyrus, Ambassadeur du Périgord-Angoumois

COMTE DU PERIGORD-ANGOUMOIS



Au peuple du Périgord-Angoumois,
Nous, Plantajeunet, XXeme comte du Périgord-Angoumois par la volonté des hommes, du Roy et de Dieu, faisons savoir la présente décision prise en ce jour du 25 Juillet de l'an de grâce 1458
La loy martiale est levée dès le Lundi 26 juillet 1458 et les frontières du Périgord-Angoumois sont réouvertes à la libre circulation des personnes et produits en respect avec les lois comtales.



Que cela soit su de tous,
Fay à Periguers,
Plantajeunet
Comte du Périgord-Angoumois

Au bon peuple du Périgord-Angoumois,

Nous, Etienne de Talleyrand-Périgord, dict Yodea, XXIIIème comte du Périgord-Angoumois, de par la volonté des hommes, du Roy et d'Aristote, faisons savoir la présente décision, prise en ce jour du 20 septembre de l'an de grâce 1458,

Les frontières du comté sont fermées à dater du 21 septembre. Tout personne désirant voyager à travers nos terres doit faire demande d'un laisser-passer auprès des autorités comtales, en particulier la prévôté sous 48h. Passer ce délai, tout contrevenant s'expose à des représailles.

Que cela soit su de tous,

Fay à Périguers le 20 septembre 1458

Etienne de Talleyrand-Périgord, dict "Yodea"
Comte du Périgord-Angoumois


Cyrus, Vice Chancelier du Périgord Angoumois

Citation :

Nous Betoval, Duc de Guyenne

Au vu des menaces se précisant pour la sécurités du Duché.
De mouvements armées suspects.
De troupes de brigands et de mercenaires étrangers en nos terres et de la menace qu'elles font peser sur notre capitale.
Levons le ban de la noblesse Guyennoise.
La noblesse de Guyenne non mobilisée actuellement dans les armées au service du Duché se doit de rejoindre au plus vite Bordeaux.

Nous déclarons la loi martiale en Guyenne, invitons tout étranger a quitter le territoire immédiatement et de se signaler a la prévôté pour sa propre sécurité dans les plus brefs délais.
Nous invitons tous les hommes valides de Guyenne a participer a l'effort de défense de notre capitale Bordeaux et a s'y rendre le plus rapidement possible

Que la grâce du Très Haut veille sur ses valeureux enfants de Guyenne.


Scellé a Bordeaux le vingtième jour d'octobre de l'an de grâce 1458.

Citation :

Nous Betoval, Duc de Guyenne

Vu les rapports de la prévôté et de l'Ost de Guyenne.

Décrétons la fin de la loi martiale pour les villes de Guyenne à l'exception notable de sa capitale Bordeaux.
La levée de ban est,elle,toujours d'actualité.

Nous espérons que tout rentre dans l'ordre rapidement et prions pour que notre Duché retrouve la sérénité .

Scellé a Bordeaux le deuxième jour de Novembre de l'an de grâce 1458.

Citation :

Nous Betoval, Duc de Guyenne
Après consultation des forces armées et de sécurité du Duché de Guyenne.

Annonçons avec bonheur, la situation s'étant actuellement améliorée et les menaces s'étant éloignées, que nous abrogeons la déclaration de loi martiale sur Bordeaux et la levée de ban de la noblesse de Guyenne.

Nous remercions la noblesse et tous les volontaires qui ont su montrer à ceux qui nous menaçaient que la Guyenne sait montrer sa force en cas d'urgence

Puisse la paix perdurer sur nos terres.

Scellé à l'Ombrière le douzième jour de Novembre de l'an de grâce 1458.

Citation :

Nous, Altaiir Auditore da Firenze, Duc de Touraine,

Ayant conscience des dangers qui perpétuellement incitent à un repli nuisible aux échanges et au commerce. Toutes choses bénéfiques à notre terre que nous ne pouvons ôter à notre peuple plus que strictement nécessaire.
Ayant en outre le privilège de pouvoir nous appuyer sur une défense réactive capable de juger à sa juste mesure les menaces éventuelles.

Nous abrogeons le décret du Prime de Juin 1458 portant fermeture des frontières de Touraine

En conséquence, nous informons les sujets de Touraine et toute personne désireuse de franchir nos frontières que celles ci sont dorénavant ouvertes sans aucune restriction pour les honnêtes gens.

Nous prévenons avec diligence marauds, brigands et autres ruffians que l'hospitalité de Touraine sera à l'aune de leur conduite en nos routes et cités.

Fait en ce huitième jour du mois de novembre de l'an de Grâce 1458
Au castel de Tours

Altaiir Auditore da Firenze
Duc de Touraine

[quote]

Citation :

Au Peuple du Périgord et de l'Angoumois,
A tous les voyageurs des Royaumes,
A tous ceux qui la présente déclaration liront ou se feront lire.


Nous, Cerise de Bonnemaison, dicte Griotte, XXVIème Comte et VIIIème Comtesse du Périgord-Angoumois, par la volonté des hommes, de la Reyne et d'Aristote,

faisons savoir cette décision :

- Les frontières du Comté sont fermées à dater du 17 Février 1459. Tout personne désirant voyager à travers nos terres doit faire demande d'un laisser-passer auprès des Autorités Comtales, sous 48h. Passé ce délai, tout contrevenant s'expose à des représailles.


Que cela soit dit et su à travers le Comté.

Fait à Périgueux,
Le 16ème jour du moy de Février mil quatre cent cinquante neuf.

Sa Grandeur,
[signature : Cerise de Bonnemaison]
Comtesse du Périgord et de l’Angoumois

[sceau]

Citation :

Au Peuple du Périgord et de l'Angoumois,
A tous les voyageurs des Royaumes,
A tous ceux qui la présente déclaration liront ou se feront lire.


Nous, Cerise de Bonnemaison, dicte Griotte, XXVIème Comte et VIIIème Comtesse du Périgord-Angoumois, par la volonté des hommes, de la Reyne et d'Aristote,

déclarons :


- Qu'en vertu de l'Opus III, chapitre 5 du livre II du corpus, la Loy Martiale entre en application des le 17 Février 1459.

Nous rappelons ceci.

Citation :

Article 2.5.3.1. - La loi martiale est une mesure d'exception et ne saurait être proclamée qu'en cas d'événement susceptible de nuire gravement à la bonne administration du comté du Périgord-Angoumois. Elle ne peut être décrétée que par le Comte.
Article 2.5.3.2. - Dès la fin de la situation de crise à l'origine de la promulgation de la loi martiale, celle-ci doit être suspendue par le Comte.
Article 2.5.3.3. - Durant toute la durée d'application de la loi martiale, tout voyageur, marchand ou étranger foulant le sol du Périgord-Angoumois a l'obligation de se signaler à la prévôté sous peine de poursuites judiciaires pour trouble à l'ordre publique et, ou de bannissement.
Article 2.5.3.4. - Sous la loi martiale le Comte peut d'autorité mettre aux arrêts tout individu au comportement suspect.
Article 2.5.3.5. - Sous la loi martiale les ambassadeurs et autres représentants des provinces extérieures sont priés de rester dans leur délégation.

Tout déplacement est strictement interdit. Si l'envie d'entrer sur nos terres et d'y voyager; des laisser-passer seront délivrés par les Autorités Compétentes mentionnées dans les articles cités.

Les forces de l'ordre et les armées sont autorisées à intercepter les contrevenants morts ou vifs.


Que cela soit dit et su à travers le Comté.

Fait à Périgueux,
Le 16ème jour du moy de Février mil quatre cent cinquante neuf.

Sa Grandeur,
[signature : Cerise de Bonnemaison]
Comtesse du Périgord et de l’Angoumois

[sceau]

Citation :

tous les voyageurs qui désirent fouler nos terres en toute quiétude, nous annonçons la réouverture des frontières poitevines, pour peu que leur volonté soit pacifique. Notre service de sécurité se chargeant de surveiller nos terres afin de bouter hors de celles-ci, morts ou vifs, les fauteurs de troubles et les brigands de tout poil.

N'ayant malheureusement point reçu de réponse à notre appel fraternel, ni même adonc d'excuses de la part du dirigeant du Bourbonnais Auvergne pour les propos insultants tenus par son prédécesseur, les frontières poitevines resteront fermées à leurs ressortissants, dans les mêmes conditions que le précédent décret Baillant. Puisse Aristote aider le nouveau Duc à retrouver la voie de la paix fraternelle.


Datan l’Epervier, Comte du Poitou,
Au château de Poitiers le neuvième jour du mois de mai 1459.

Citation :

Nous Leepo, Duc de Guyenne

Au vu des menaces se précisant pour la sécurité du Duché et de nos villes.
De mouvements suspects.
De troupes de brigands et de mercenaires étrangers en nos terres et de la menace qu'elles font peser sur notre capitale et nos villes.



Nous informons que les routes de Guyenne seront fermées et impraticable pour tous voyageurs qu'il soit Guyennois ou étrangers .Que les armée de Guyenne seront les seules à pouvoir se déplacer et seront autorisée à arrêter par n'importe quel moyen toutes personnes qui se trouveraient sur les routes de Guyenne.


Nous invitons tout étranger à se signaler à la prévôté pour sa propre sécurité dans les plus brefs délais.

Que tout étranger arrivant sur le sol Guyennois le fera en connaissance de cause au risque de sa sécurité.


Nous invitons tous les hommes valides de Guyenne à participer à l'effort de défense de notre capitale et des autres villes de Guyenne et a proposé son aide à l'Ost pour éliminer la vermine se promenant sur nos routes.

Ceci prendra effet le seizième jour du mois de Juin 1459 et ce jusqu'à nouvel ordre.

Que la grâce du Très Haut veille sur ses valeureux enfants de Guyenne.


Scellé a Bordeaux le quinzième jour de Juin de l'an de grâce 1459..

Citation :

tous icelieu et à venir, qu'il plaise d'ouïr,


Suite à l'entrée d'armées ennemis violant la souveraineté territoriale du Berry et donnant lieu à des annexions de territoires mais aussi des actes barbares commis contre nos frêres et alliés berrichons, nous annonçons dès ce jour la décision de fermer nos frontières à tout tourangeau, bourguignons et auvergnats

Qu'il soit su qu'à compter d'aujourd'hui, 9 juillet 1459, Tout citoyen de la Touraine, de la Bourgogne et du Bourbonnais Auvergne a interdiction de fouler le sol du Poitou. Ceux actuellement présents disposent d'un délai de 48 heures pour quitter nos terres. A partir du 11 juillet 1459, le Poitou ne garantira plus leur sécurité ni leur intégrité physique, et ce jusqu'à ce que le dernier soldat ennemi ait quitté le territoire berrichon. Puisse Aristote avoir pitié de ceux qui seront encore là, une fois le délai passé.

Le Poitou se désole que les honnêtes citoyens et les braves gens de ces duchés, subissent les conséquences des actes belliqueux de leurs régnants. Nous encourageons les citoyens pacifistes à faire pression sur leurs élus afin que chacun puisse enfin circuler librement sur les routes de France.

De plus, au vue de la menace grandissante sur le Poitou, nous déclarons pour Tout étranger hors-ponant l'interdiction de circuler et de séjourner dans la ville de Poitiers afin de garantir la sécurité de notre comté et de sa population.

A ce titre, tout ressortissant étranger voulant mettre les pieds à Poitiers doit au préalable en demander l’autorisation à Brisson (IG: Brisson.), Prévôt des maréchaux. Les étrangers hors-Ponant présents dans la capitale disposent d'un délai de 24 heures pour quitter les lieux.

Toute installation sur les terres du Poitou (changement de résidence IG) sera soumise a l'accord écrit du Prévôt ou du Comte durant cette période d'interdictions.

Toute personne manquant au présent décret se verra poursuivre pour trouble à l’ordre public ou toute personne tentant de franchir les frontières sans y avoir été autorisée, risquerait de connaître la force de nos armées.

De plus, des manœuvres militaires vont se tenir sur notre territoire. Nous invitons les poitevins à éviter les déplacements sur les routes durant les prochains jours.

Poitevin devant, jamais ne se rend !

Fait à Poitiers,
Le 9 juillet mille quatre cent cinquante-neuf,

Sa Grandeur Oane de Surgères,
Comtesse du Poitou.

Citation :

Décret Ducal

[De la circulation des personnes en Touraine.]

Nous, Llyr di Maggio et d’Astralgan, Duc de Touraine, mettons en application le décret suivant:

Article 1: tout ressortissant non-tourangeau a le devoir de contacter le Prévôt des maréchaux ou le Connétable légitimes un jour avant son entrée sur notre territoire afin de lui préciser son identité, les motifs de sa venue, une durée approximative de séjour ainsi que l'itinéraire qu'il décide prendre.
Le document transmis au Prévôt ou au Connétable peut dès lors être utilisé comme une preuve directe ou indirecte. Le non-respect de cette condition constitue un trouble public. La transmission de fausses informations constitue une fabrication de faux et un usage de faux.

Article 2 : En extension du Droit Royal, le Duc se réserve le droit de retirer ou de refuser l'autorisation de formation d'une lance ou d'un corps d'arme sur son sol. Toute personne contrevenant à cette décision sera poursuivie pour trouble public aggravé pour les étrangers, ou en trahison ou haute trahison pour les sujets tourangeaux.

Article 3 : De façon discrétionnaire, le Duc peut demander à ce que le Procureur lance un procès préventif, pour trouble à l'ordre public, sous forme de mise aux arrêts de la personne. Toute action hostile du suspect entre le lancement de ce procès et son départ de Touraine pourra être utilisée au sein de ce procès.
A ce titre, exceptionnellement, le Procureur pourra user de son réquisitoire comme d'un acte d'accusation. L'absence de crimes ou de délits jusqu'au départ du Duché entrainera une relaxe.
Le non-respect de ce décret par les ressortissants d’entités politiques avec lesquels la Touraine serait en conflit constituera une aggravation lors du procès.

Ce décret prend validité vingt-quatre heures après sa publication officielle.
Ainsi, tout étranger foulant déjà le sol tourangeau lors de la mise en application de ce décret aura quarante-huit heures pour se mettre en conformité avec celui-ci ou pour quitter le territoire de la Touraine.

Faict à Tours ce dix-septième jour de juillet MCDLIX



Llyr di Maggio et d’Astralgan
Duc de Touraine

Citation :

A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Considérant la politique mensongère et malveillante des provinces ponantaises à l’encontre de la Touraine,

Nous, Llyr di Maggio et d’Astralgan, Duc de Touraine,

Faisons savoir par la présente que tout ressortissant du Ponant est déclarée persona non grata sur sol tourangeau et ce, avec effet immédiat.

Faisons savoir que l'armée et la prévôté sont chargées de faire respecter ma décision par tous les moyens à leur disposition.

Afin que nul ne puisse contester ce document, nous y apposons notre scel et notre signature.

Faict à Tours, ce dix-septième jour de juillet MCDLIX



Llyr di Maggio et d’Astralgan
Duc de Touraine

Citation :

Au Peuple du Périgord et de l'Angoumois,
A tous les voyageurs des Royaumes,
A tous ceux qui la présente déclaration liront ou se feront lire.

Nous, Valnor de Lande Morte, Pair-Régent du Périgord et Angoumois, par la volonté des hommes, de Feue la Reyne de France et d'Aristote.

Faisons savoir que compte tenu de nombreuses menaces pesant sur le Comté et Conformément aux articles de loi suivants :

Livre II - Chapitre I - Article 2.1.11
Livre II- Chapitre V - Opus III - Article 2.5.3.1, 2.5.3.2, 2.5.3.3, 2.5.3.4 et 2.5.3.5.

Déclarons les frontières du Comté fermées dès ce jour du 28 Juillet 1459. Tout personne désirant voyager à travers nos terres doit faire demande d'un laisser-passer auprès des Autorités Comtales, sous 48h. Passé ce délai, tout contrevenant s'expose à des représailles.

Déclarons la loi Martiale dans le Comté dès ce jour du 28 Juillet 1459.

Mobilisons l'ensemble de forces armées et de maréchaussée du Comté. Tous les hommes d'armes et maréchaux disponibles se présenteront auprès de leurs officiers pour recevoir leurs ordres.

Autorisons le Prévôt des Maréchaux de mettre aux arrêts tout individu suspect ou présentant un danger pour le Comté.

Autorisons les forces armées à user de la force envers toute menace dirigée contre le Comté.

Que cela soit dit et su à travers le Comté.

Fait à Périgueux,
Le 28 ème jour de Juillet mil quatre cent cinquante neuf.

Citation :

A l'attention des hauts dignitaires et chefs d'armées du Ponant,
A tous ceux qui liront où se feront lire,

Nous, Llyr di Maggio et d'Astralgan, Duc de Touraine, avons été informé de mouvements suspects de vos troupes du côté de Saumur. En cette période troublée, de tels mouvements sont de nature à menacer la trêve fragile qui repose sur la France.

Aussi, afin d'éviter de nouveaux conflits inutiles, invitons nos voisins à cesser au plus vite toute action aux belliqueuses apparences. Si cet attroupement à notre frontière commune avec l'Anjou est justifié par un soucis de défense intérieure du territoire angevin, nous vous invitons à nous le faire savoir.

Par ailleurs, pour ces mêmes raisons menaçant la sécurité de la Touraine, nous annonçons qu'en ce jour, les armées tourangelles sont devenues faucheuses. En conséquence, pour éviter des tracas, les voyageurs sont invités à se manifester deux jours avant leur arrivée sur notre territoire uprès de notre Prévot (Solange_Curnonsky) et/ou de notre Connétable (JeremI) ainsi qu'auprès du chef d'armées des villes de Touraine où viendront leurs pas (Joachim_ pour Chinon, P3r3v3rt pour Loches, Zebracolor pour Tours et Vendome).

Fait à Tours, le trentième jour de janvier MCDLX
Llyr di Maggio et d'Astralgan, Duc de Touraine

Citation :

A l'intention de l'ensemble des chancelleries du Royaume de France et du Saint- Empire

TRES IMPORTANT : A RELAYER AUPRES DE VOS SUJETS

Par la présente annonce, le Conseil Ducal Tourangeau rappelle que :

• Ses frontières demeurent fermées à l'ensemble des sujets des provinces du Ponant et du Berry.
  
• Les sujets des provinces hors Ponant doivent impérativement se faire connaître auprès des autorités tourangelles 72 h avant leur entrée dans le duché.
  
• L'installation en Touraine demeure soumise à autorisation quelque soit la province d'origine.

Afin de soutenir un tel dispositif, nous rappelons que
LES ARMEES TOURANGELLES ONT DEPLOYE LEUR FAUCHEUSE.

Fait à Tours le 19 mars de l'an de grasce MCDLX.

Pour le Conseil Ducal de Touraine

Chambellan de Touraine

Citation :

Nous, Renlie d'Evrecy, Comte du Périgord Angoumois,
par la volonté des hommes, du Roy et d'Aristote.


Levons ce jour la Loy Martiale, gardant toutefois nos frontières fermées au vu des troubles qui agitent le Royaume, encore et toujours... Nous prions Aristote pour que la raison et la sagesse gagnent le coeur des belliqueux, que notre Royaume avance du pas d'un seul homme vers son avenir.


Que cela soit su de tous.


Fait à Périgueux, le 6 avril de l'an de grâce 1460.

Citation :

Nous, Renlie d'Evrecy, Comte du Périgord Angoumois,
par la volonté des hommes, du Roy et d'Aristote.


Abrogeons ce jour le décret du 30 septembre 1459 relatif à l'obligation de fréquentation de nos mines par les étrangers sur le sol du Périgord Angoumois.

Nous les invitons cependant à fréquenter nos mines afin de participer à l'effort commun, et de se rapprocher de notre Commissaire aux Mines, sieur Goddefroy, afin de se renseigner sur les divers avantages octroyés par un Contrat Minier du Périgord Angoumois.


Que cela soit su de tous.


Fait à Périgueux, le 6 avril de l'an de grâce 1460.

Citation :

Poitevin devant, jamais ne se rend !

nnonce comtale : Réouverture des frontières du Poitou

A tous icelieu et à venir, qu'il plaise d'ouïr,

A la vue de l'apparente volonté du Royaume de France par son Roy élu Vonafred de Salmo Salar, d'avancer sur la voie des négociations de paix, espérant sincère et véritable cette volonté de paix entre nos peuples, Nous, Xavix de Beaurepaire, Comte du Poitou, adressons un signe fort de notre volonté et de notre croyance en cette paix très prochaine et abrogeons ce jour le décret de sa Grandeur Allydou de Lisaran, du 24 Janvier 1460 et relatif à la fermeture des frontières du Poitou.

Les dispositions afférentes concernant la délivrance de laissez-passer sont également abrogées.
L'installation dans le Comté reste soumise à une demande d'autorisation auprès du Prévôt. Tout manquement à cette obligation sera passible de poursuites au tribunal du Comté ou/et par nos armées.

Rappelons à cette occasion, que nos fidèles armées, effectuent des manœuvres sur les chemins du Poitou afin d'en déloger les contrevenants à ces dispositions, ainsi que les malheureux brigands qui osent perturber la vie de nos chers concitoyens.

Fait par nous, Xavix de Beaurepaire, Comte du Poitou.
En notre château de Poitiers, ce 28 avril de l’an de grâce MCDLX.

Citation :

Devant la recrudescence de groupes armés se présentant ou étant dans nos villages,
Au vue des actions commises en le Royaume de sa majesté Louis Vonafred de Varenne Salmo Salar et au delà par les organisations brigandes de "l'Hydre" et de "Fatum".
Afin que toute personne entrant sur nos terres se doit de respecter la déclaration suivante :

Nous, Mircha Céleste de Champfleury, Duchesse de Guyenne, par la grâce de Dieu et la volonté du peuple et du conseil,


Déclarons les dites organisations ennemies de notre province, pour ce qu'elles sont connues de part multiples actes passés de brigandages, de prises de château ou de mairie.

Idem de leurs membres, ayant pratiqué de manière constante de tels actes, bafouant les vœux de sureté des institutions et souveraineté des villes et couronnes.
De fait, qu'il soit su que toute incursion sur notre territoire de membres clairement identifiés de ces organisations se verra sanctionnée par la force sans sommation.

Ordonnons à partir de ce jour, la fermeture des frontières autour de la bonne cité de Cahors à tous ressortissants étrangers non autorisés par la Prévôté. Toutefois une demande de laisser passer pourra être formulée 48h à l’avance afin d’avoir l’autorisation de pénétrer dans l’enceinte de la ville.

Les étrangers présents actuellement à Cahors doivent sous 24h se faire connaitre et devrons faire une demande d’autorisation de séjour dans ladite ville à la Prévôté, ou la quitter sous ce même laps de temps sous peine de poursuite pour trouble à l'ordre public.

Proclamons l'interdiction à tout étranger de prendre résidence en la ville de Cahors, sauf s'il a obtenu une autorisation du Prévôt des maréchaux sous peine de poursuite pour trouble à l'ordre public.

Les autorités locales se réservent également le droit de demander toute dissolution de groupes (groupe, corps d'arme, lance) sur les terres de Guyenne. Cette injonction devant être effective sous 24h sous peine de mise en accusation pour trouble à l'ordre public.

Nous rappelons aussi que nos frontières sont ouvertes mais que le libre passage sur le sol Guyennois est interdit à toute armée, sans dérogation ducale écrite 48H au préalable.


Pour tout manquement aux déclarations si dessus, une action armée des forces de Guyenne pourrait alors être légalement lancée.



Fait à l'Ombrière, le vingt-et-unième jour du mois d’avril 1460

Citation :

À tous présent et à venir, salut,

Nous, Arnaut de Bazaumont, Duc de Guyenne par la grâce de Dieu et la volonté du peuple et du conseil, annonçons , suite à la chute du château de Toulouse , la fermeture de notre frontière avec le Comté de Toulouse.

Toute personne souhaitant voyager à travers nos terres en passant par les terres toulousaines doit faire demande d'un laisser-passer auprès du Prévôt des maréchaux , dona Cyrinea avant d'entrer à Montauban. Tout contrevenant s'expose à des représailles.

Fait au palais de l'Ombrière le septième jour du mois de Juin 1460.

Arnaut de Bazaumont Noldor